Dunedin et sa belle péninsule !
Le saviez-vous ?
Dunedin a été fondée par des Écossais en 1848. Et « Dunedin » n’est autre que le nom écossais d’Edinburgh !
Qu’y faire, qu’y voir en priorité ?
Helas, vous n’aurez que l’embarras du choix, alors voici la liste des choses que l’on a faites, mais il en reste encore bien d ‘autres !
- La gare (Railway Station)
- Olveston (Visite guidée d’une demeure du début du siècle, photos interdintes à l’intérieur mais cela vaut largement la peine d’être vu, surtout pour les fan de Downton Abbey !)
- Speight’s Brewery pour les amateurs de bière… Dégustation assurée !
- Toitu Museum pour un petit retour en arrière durant le siècle précédent !
- Et enfin Dunedin fut un bon point de départ pour une excursion dans sa Péninsule !
Quelques photos du centre de Dunedin, mais surtout sa « Railway Station » avec sa belle architecture qui en fait le bâtiment le plus photographié de Nouvelle-Zélande !
Visite guidée dans la Brasserie Speight’s le temps d’une bonne heure, en plein coeur de Dunedin ! – A guided tour through the Speight’s Brewery !
Toitu Museum pour un récit complet de l’histoire de la ville de Dunedin, et les nombreuses évolutions technologiques dont a été témoin cette ville durant le XXème siècle !
Une petite heure de route nous aura permis de quitter la ville et de découvrir la belle péninsule de Dunedin. Pas toujours évident de s’arrêter le long de l’étroite « scenic road », mais cela en valait la peine ! Otaries à fourrure au niveau du cap, au pied de l’albatros center…
Nous en aurons d’ailleurs vu un d’albatros, seulement il était en plein vol et nous n’avons pas eu le temps d’immortaliser cet instant en photos. Qu’importe ! Et quand je pense à un « Albatros », un poème appris dans ma jeunesse résonne en moi… Je souhaitais partager cela avec vous…
L’albatros
Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait !
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.
Charles Baudelaire (1821-1867)