Notre journal de bord détaillé de Budapest !

A moi de jouer… Autant dire qu’il parait difficile de raconter nos 5 jours passés là-bas en partant d’une page blanche… Seulement je doute que jérémy n’ait la patience de s’y atteler, et de ce fait, je me sacrifie. J’en vois certains venir : « Oh mon dieu la pauvre, elle se sacrifie à raconter ses vacances…! Quel manque de chance…! » Seulement je vous préviens, 5 jours avec nous, sachant que nous sommes au taquet en vacances, vont être longs à comter…

Lundi 23 mars 2015, 18h05

J’ai retrouvé hier soir même la feuille de papier A4 déchiré où nous avions listé les lieux visités lors de notre séjour passé à Budapest. Alors, tout comme je l’ai fait pour Milan, ce récit sera en mode Flash-Back. Je vais tenter d’utiliser ma mémoire pour dépeindre un peu nos impressions, car si je m’en tiens juste à recopier la liste, vive l’ambiance ! Juste pour info, la capitale de Budapest est donc née en 1873 de la fusion de notamment Buda et Pest, toutes deux séparées par le cours du Danube. Allez, place au récit à présent !

Flash-Back

Jeudi 12 février 2015

Arrivée en tacos très tard au Carlton Hôtel vers 1:30 Am ! Et encore nous avons eu la chance d’arriver tout court ! La compagnie Air France était en effet en pleine période de grève, et notre avion a été très retardé au départ de Paris Orly. Mais enfin, au moins nous y sommes, et demain début de l’aventure hongroise !

Vendredi 13 février 2015

Notre première journée aura magnifiquement commencé avec un petit déjeuner que nous pourrions d’ailleurs qualifier de « brunch » ! Bonus spécial pour les œufs brouillés et la tarte aux pommes aromatisée cannelle. C’était trop bon ! Aller on remonte dans la chambre, on prépare nos sac en pensant surtout à nos appareils photos, la cam (éra), les batteries, les bouteilles d’eau « dûment » remplies, et c’est parti !

La première centaine de mètres nous mena directement au pied du pont des chaînes (Széchenyi lánchíd en hongrois) que l’on n’avait pas eu l’occasion d’apercevoir hier depuis le taxi. Ce pont est tout simplement magnifique, pas étonnant qu’il fasse la réputation de budapest ! Premières photos, premier HDR, première vue offerte sur le parlement, première traversée du Danube…

Notre plan est établi, nous voulons entrer dans les rues piétonnes et empruntons pour cela « Zrinyi utca ». Cette rue nous mena à la basilique St Etienne, dont la tour panoramique était à notre grand étonnement ouverte ! En même pas 2 minutes nous étions déjà lancés dans son ascension ! Il était par ailleurs relativement tôt, et le monde n’était pas encore arrivé. L’escalier en colimaçon nous était pratiquement entièrement dédié ! Un ascenseur ? Oui il y en a un pour une partie de la montée mais… Pour quoi faire ? Et concernant la vue qui nous était offerte en son sommet, je laisse les photos parler…

Après cette vue au-dessus des toits hongrois, nous avons continué la balade vers la place de la liberté, en direction du parlement. Et juste à côté du parlement, on a rencontré un homme de bronze sur un pont, arrêt pour un selfie à 3 ! Beau cadrage non ? Fruit d’une simple et unique prise ! Oh, et j’y joins une photo du parlement comme de bien entendu…

Donc pour le parlement, il faut savoir que l’on y rentre pas comme on le souhaite « à l’arrache ». Il y a des visites guidées organisées dans de nombreuses langues à différentes heures de la journée, et il faut réserver afin de pouvoir y participer. Cela dit, je doute qu’ils aient une quelconque limitation en termes de nombre de têtes. Notre groupe anglais de 14h était plus que bondé, c’est ce que l’on a regretté. Il n’était pas aisé de toujours entendre et comprendre ce que la guide qui, à l’accent hongrois à couper au couteau, racontait tant bien que mal. Nous verrons plus tard que de ce fait, nous avons opté lors de la visite de l’opéra pour une visite en français. (Il y avait beaucoup moins de monde que dans les groupes anglophones !) Une visite que l’on n’a cependant pas regrettée !

Après cette visite, nous avons traversé à nouveau le Danube pour rejoindre la ville de Buda où se trouvait notre hôtel. Les rues piétonnes et le parlement se trouvent donc quant-à-eux à Pest. Et c’est à 2 pas de l’hôtel qu’un café de la place de Budai Vigadó a attiré notre attention. Il était alors 16h30 et une pause frites s’imposait ! Elles étaient super bonnes d’ailleurs, et préparées par le chef cuistot en personne !

Que faire après cela ? Devons-nous rentrer écraser à l’hôtel ? A cette triste question nos âmes s’éveillèrent et refusèrent de se faire prendre par les filets tueurs de Monsieur digestion ! Nous lâchâmes alors en cœur un splendide « On continue !» plein d’espoir, alors que nos jambes commençaient déjà à s’activer et à gravir les innombrables marches en direction du Bastion des Pêcheurs (hongrois : Halászbástya, Fisherman’s Bastion) ! Lorsque nous sommes arrivés au sommet, le Soleil était sur le point de se coucher, et la lueur du crépuscule était des plus propices aux photos. Nous avons adoré, cet endroit est splendide !

Suite à cela, petit pause bain à l’hôtel pour se détendre après cette dure journée, et repas italien délicieux au restaurant « délirium » d’à côté, au bord de la rive du Danube !

 Samedi 14 février 2015

Pour cette deuxième journée, même point de départ que la première. Après le petit-déjeuner/brunch à l’hôtel, balade jusque dans les rues piétonnes, point de départ pour rejoindre l’appartement de Franz Liszt que l’on a visité ! Pianiste virtuose de compositeur austro-hongrois (1811-1886), il y habita les 5 dernières années de sa vie. Cet appartement est constitué de trois pièce seulement, avec notamment la chambre à coucher servant de cabinet et le salon. C’est dans ce dernier que se trouvait le piano Chickeringque l’on a adoré ainsi que le piano Bösendorfer, apparemment le préféré de l’artiste.

Nous avons ensuite re-décollé direction le Parc Városliget pour une balade au milieu de ses canards à la recherche de la  splendide porte des éléphants, entrée principal du zoo. C’est une photographie après que nous avons alors rejoint le lieu dans lequel nous passâmes notre après-midi en guide de Saint-Valentin : les bains Széchenyi, ou Széchenyi gyógyfürdő en hongrois si vous préférez! (après un petit encas pour prendre des forces je dois l’avouer…)

Alors ces bains valent clairement le détour. D’organisation ce n’est certes pas évident, quelle « formule » prendre à l’entrée parmi toutes celles proposées avec les lockers, cabines, et j’en passe… Mais une fois ce détail dépassé, c’est le bonheur ! Ce sont des bains en extérieur, et fort heureusement, car dans une eau à 37/38°C, qu’il est bon de sortir le haut du corps pour respirer plus aisément, dans la fraicheur de l’hiver ! Nous n’avons pas eu de souci de séparation car ces bains sont continuellement mixtes, et sont par ailleurs le théâtre des fameuses parties d’échec flottantes!

De nouveau « encas » à la sortie parce que l’eau chaude, ça creuse, puis retour vers les rues piétonnes. Décidemment celles-là on les aura parcourues ! Normal sachant qu’elles constituent un trait d’union entre le Pont des Chaînes et la plupart des lieux qui nous intéressaient du côté de Pest. Y retourner était un bon compromis pour la soirée, sachant que les bains sont assez excentrés du centre… Alors que faire à présent ?

Dans mes souvenirs, nous n’arrivions pas à nous décider. Nous venions d’abandonner  l’idée de la patinoire au vu du monde faisant la queue, et par conséquent nous nous sommes accordé une pause au café de Paris le temps de nous décider. L’idée de l’icebar nous vint, et on y prit un apéro « Mocktail » bien sympa et des plus originaux ! Dans un véritable verre en glace ! Restau italien ensuite où on a dû attendre 3 plombes, mais parlons que du meilleur ! Et nos pizzas étaient très bonne anyway !

Dimanche 15 février 2015

Déjeuner/brunch à notre hôtel comme de bien entendu pour une troisième journée qui, à nouveau, s’annonce bien chargée ! Heureusement que nous avons décollé de bonne heure, car grâce à cela, il fut possible de rapidement monter au château en funiculaire. Une heure plus tard, et la file d’attente aurait été inévitable. Alors très sympa ce funiculaire ! Il est situé à 50m du Pont des Chaînes, côté Buda. Ainsi, plus on prenait de l’altitude et plus la vue sur le pont, Pest, ainsi que le parlement, apparaissait. Nous aurons d’ailleurs finalement pris davantage de photos de la vue que du château lui-même !  Et Concernant ce château (pourrais-je même dire palais !!), il s’agit historiquement de celui des rois de Hongrie et est inscrit sur la liste du patrimoine mondial.

Dans la cour ouest du palais de Buda se trouve la célèbre fontaine Matthias, monumentale. Cette œuvre du scupteur  Alajos Stróbl dépeint la légende du Roi Matthias et de la belleIlonka. Jusqu’à présent, je n’avais à ma connaissance que le début de l’histoire, selon laquelle Ilonka, paysanne, tomba amoureuse du roi alors qu’il chassait incognito. En me baladant sur le net, j’ai trouvé un article anglophone racontant l’histoire toute entière. Adorant les légendes, je vais vous la retranscrire. A moins que je ne fasse un copier-coller ? Non je vais plutôt garder cet article entièrement en français.

Le Roi Matthias partait souvent chasser incognito. Un jour donc, lors d’une de ses parties de chasse,  accompagné de ses amis, il rencontra une belle paysanne du  nom de Szép Ilonka. Ils tombèrent amoureux au premier regard… C’est alors qu’avant de s’en retourner dans son palais, et sans pour autant révéler à la belle son identité, il l’invita à lui rendre visite quand elle le pourrait à Buda. Peu de temps après, Ilonka s’empressa de rejoindre la ville, mais seulement pour se retrouver parmi une grande foule, rassemblée pour accueillir le roi qui s’en revenait victorieux d’une bataille. Lorsqu’elle aperçut le roi, elle reconnut la personne dont elle était tombée amoureuse. Se sachant simple paysanne, elle fut convaincue que jamais il ne l’épouserait, et rentra chez elle, emplie de chagrin. Elle mourut d’amour peu de temps après… Ce n’est que deux semaines plus tard que le roi, qui n’avait pas aperçu sa belle sans a foule se rendit chez elle, seulement pour trouver une maison vide. » Triste histoire n’est-ce pas ? La fontaine nous plu beaucoup, et la minutie avec laquelle les personnages et animaux ont été créés est impressionnante.

Suite à cela, nous avons franchi les portes de la galerie nationale hongroise (Magyar Nemzeti Galéria), abritée dans l’enceinte même du château. Pour les amateurs d’histoire, vous pourrez également y trouver le musée historique de Budapest (Budapesti Történeti Múzeum), mais cela ne nous intéressa guère. Le bâtiment à l’intérieur se voulait très moderne, sur plusieurs étages, et ne dégageait pour cela aucun charme. (À mon humble avis…) Il y a néanmoins quelques tableaux que j’ai pris plaisir à photographier, et voici une sélection de deux d’entre eux. (Arrival of the Bride, 1856, Barabas Miklos & Gypsy Girl, 1912, Réti Istvan)

Une fois la visite achevée, nous descendîmes en 2/3 mouvements par un chemin serpentant la petite colline. Traversée du Pont des Chaînes comme à notre habitude, et randonnée urbaine jusqu’à la Grande Synagogue de Budapest. Et quel bâtiment ce fut-là ! Honnêtement, une merveille. Elle fut bâtie entre 1854 et 1859 par l’architecte viennois Ludwig Förster, dans un style mauresque byzantin. Outre le fait qu’il s’agisse de la plus grande d’Europe, c’est la qualité de son intérieur, ses décorations, ses couleurs qui nous émerveilla. Et qu’est-ce que Jérémy porte bien la kippa !

Après cette découverte religieuse à Pest, retour directement sur Buda on nous rejoignîmes, après avoir retiré de l’argent dans un distributeur introuvable, la fameuse crêperieNagyi Palacsintázója ouverte H24 ! Les crêpes sont certes réchauffées au micro-onde, mais ouaou qu’est-ce qu’elles sont délicieuses ! A prix minimes qui plus est, et il y en a pour tous les goûts, sucrées comme salées, voire les deux! C’est là que j’ai mangé la première crêpe aux épinards de ma vie, et j’ai plus qu’adoré ! Si bien que j’en ai mangé une récemment dans une crêperie sur Paris. Mais bon je m’éloigne du sujet ! Cet établissement agencé sur 2 étages offre une très belle vue sur le Danube et le parlement. A découvrir !

Une fois le repas fini, passage à l’hôtel pour poser tous les appareils et ne garder que le petit à selfies, on enfile les maillots, on prend du change, et on longe le Danube en direction des bains Rudas ! Ceux-ci ne sont mixtes que les WE, alors il fallait impérativement en profiter en ce jour dominical ! Alors pourquoi n’avoir emmené qu’un seul appareil photo ? (oh et la caméra aussi mais nous ne l’aurons utilisée que brièvement). Tout simplement parce que de ces bains turcs en intérieur se dégage énormément de vapeur ! Ils sont pour cela particulièrement humide. Et même au-delà d’abîmer les appareils électronique, il fallait essuyer l’objectif après chaque prise et se dépêcher d’en prendre une nouvelle avant que la vapeur d’eau ne se redépose ! Alors vous allez me demander : pourquoi avoir sélectionné ces bains-là parmi tous ceux existants dans la capitale thermale ? C’est d’avoir lu dans un guide que les décors s’apparentaient à ceux des contes des mille et une nuits qui nous a décidés… A vous d’en juger. (Avec ce qu’il est possible de voir….)

La soirée qui suivit notre baignade fut relativement calme, avec un repas de nouveau au restaurant Delirium à côté de l’hôtel. En guise d’apéritif, une Delirium Nocturnum « strong dark ale » pour moi, et une Carolus pour Jérèm.

 Lundi 16 février 2015

C’est notre avant-dernière journée en terre hongroise? La belle affaire ! Pas le temps de pleurer ni de se lamenter ! On brunch et on décolle pour une longue épopée dans les terres. En voici le récit !

Tram jusqu’aux bains Gellert dont on n’aura eu qu’un aperçu extérieur : Bâtiment de style sécession, comme je le rappelle souvent dans la vidéo de notre séjour. Cela m’aura d’ailleurs valu plusieurs taquineries de Jérémy….  Suite à cela, tram, jusqu’au terminus. Nous avons alors attendu un bon quart d’heure qu’un bus arrive. Le trajet ne fut pas si long, seulement nous n’avions aucune idée des arrêts que l’on dépassait, et il fut impossible de les compter tant il y en avait. Voyant notre air quelque peu interrogatif (ou complètement paumé au choix !), un hongrois fort sympathique s’approcha de nous pour nous dire en anglais de ne pas nous inquiéter, qu’il nous dirait où descendre.

Alors à vous de jouer à présent ! Une idée de là où se rendait ? Cet inconnu n’avait quant à lui aucun doute à ce sujet : nous allions en effet à Memento park, un vaste musée en plein air où sont regroupées d’anciennes statues érigées à la gloire du communisme, et certaines, monumentales !

Pour être honnête, en soit, ce musée n’a rien de spécialement attractif, et nous ne nous sommes pas étonnés de voir des gens y arriver, en faire un tour rapide l’air déçu, et en repartir aussitôt. Par contre nous deux étant intéressés par la photo, autant dire que l’on s’y est beaucoup amusés et que l’on n’a vraiment pas regretté le déplacement !

De retour sur les rues piétonnes vers 12h30, avec pause collation. Nous n’avons pas souhaité trop nous attarder afin de passer au conservatoire, i.e. l’académie Franz Liszt, que l’on n’a malheureusement pas pu visiter.  Si à une époque il était possible de rentrer et de se fondre dans la masse étudiante afin d’admirer la splendide salle de concert, ce n’est plus le cas à présent. Les visites sont en effet prévues à des jours précis, et il faut anticiper la chose donc. De fait nous avons de nouveau opté pour une pause-café, dans le bar étudiant adjacent cette fois, avant de nous rendre à l’opéra pour la première visite de l’après-midi organisée à 15h!

Nous avons cette fois-ci, comme mentionné après la visite du parlement, choisi de nous joindre au groupe français. C’eut été une richissime idée (en termes d’effectifs comparé au groupe anglophone), si un couple aux enfants pénibles n’avait pas été de la partie. Après cela étant, nous avons adoré la visite et cela n’a gâché ni notre plaisir de nous retrouver dans un si bel endroit, ni nos photos… (la façade de l’opéra et côté cour de la salle en forme de fer à cheval!)

Juste en quelques mots, cet opéra à la capacité relativement réduite (1261 places seulement contre 2200 pour le Staatsoper de Vienne, 1900 pour l’Opéra Garnier et 2800 pour la Scala) est réputé comme l’un des meilleurs en termes d’acoustique.

Suite à cette charmante visite, nous nous sommes lancés dans une belle galère sans le savoir : trouver des timbres pour envoyer, rituel oblige, des cartes postales à nos proches. (Et une à nous-même par la même occasion pour notre collection). Bonne idée bien sûr ! Impossible d’en trouver, et nous décidons de faire au plus simple : aller à la poste. Recherche de la poste pour acheter des timbres : dans quelle galère on ne s’est pas lancé ! Bref c’était censé ne pas être très loin d’après un policier sympathique, qui nous indiqua gentiment le chemin à pied. LA BLAGUE. Mais on l’aura trouvée cette hostie de poste ! Sieste à l’hôtel pour récupérer des km marchés, et repas à la crêperie H24. (Nous n’avons en effet décollé de l’hôtel que tard, sur le coup des 22h environ, et nous en avons profité pour prendre des photos de nuit du parlement.

Mardi 17 février 2015

Check out et enregistrement pour notre vol ce matin même après le brunch depuis les ordis à l’accueil du Carlton. Pour ce dernier jour, Budapest attristé de notre départ, s’était revêtue d’un voile gris. Nous déposons les sacs dans le « locker room » et nous partons en vadrouille vers l’île Marguerite.

Alors ce fut un relativement mauvais choix car en hiver on n’y trouve rien d’attrayant, et on a voulu rattrapé le coup en rejoignant le centre-ville. Mais là, souci ! Le retour s’en fut des plus difficiles car tout un périmètre de sécurité avait été mis en place autour du Parlement par les forces de l’ordre… un peu plus tard dans la journée nous vîmes 2 hélicoptères circuler au-dessus de la ville et comprîmes pourquoi en consultant les informations sur le net : Vladimir Poutine rendait visite au premier ministre hongrois Viktor Orban. Des manifestations étaient pour cela attendues…

Pour les quelques heures qui nous restaient sur place, nous nous sommes tout simplement posés à des cafés et en avons profité pour écrire les cartes postales. Une première pause au café de Paris et une seconde au Café Central. Délicieux leur tiramisu d’ailleurs !

Après ces derniers instants de détente, retour à l’hôtel afin de récupérer nos sacs et direction l’aéroport…!

Mercredi 25 mars 2015, 19h45

Comment finir honorablement ce post ? Tout simplement en vous remerciant de nous avoir lus…! J’avoue avoir peut-être trop développé et je me suis laissée prendre au jeu de l’écriture. Peut-être devrais-je résumer davantage pour les prochaines fois… A vous de me dire, car vous êtes les lecteurs! C’est Jérèm qui gère en ce moment même la rédaction de notre post sur Copenhague, vous devriez être moins embêté par les détails inutiles ! Nous espèrons quoiqu’il en soit vous revoir très bientôt sur un autre de nos posts ! Si vous avez des commentaires ou questions sur notre escapade, que ce soit par curiosité ou pour planifier un voyage dans cette charmante ville thermale, surtout n’hésitez pas, nous y répondrons avec grand plaisir !

Merci de nous avoir suivis et @ très bientôt !

Les voyages m'ont toujours donné le sourire... Parce que j'aime photographier et adore découvrir... Le tout en rime…