S’organiser pour les valises ! 

N’hésitez pas si vous avez des questions ou commentaires !

Faire une valise un jour, la défaire ensuite puis recommencer, la redéfaire une énième fois et l’agencer mieux encore…. Voyez-vous de quoi je parle ? Qui parmi vous n’a jamais vécu une situation de ce genre : Purée les froufrous de ce vêtement qui se prennent dans la fermeture éclair du sac, pourquoi je ne l’ai pas mis au fond ?! Ou mince mon écharpe ne rentrera jamais… Tant pis je la mets, il ne fait pas froid mais pas d’autre choix !  Ou encore, n’avez-vous jamais dit d’une voix super enthousiaste :

Ouaou, j’ai réussi à tout faire rentrer nickel !

Retour en France de Sherbrooke

Et alors vous vous retournez pour découvrir une chose bien en évidence et oubliée, et bien souvent il ne s’agit pas du petit adaptateur ou de la brosse à dent de voyage pliable que personne n’a. Non, il s’agit bel et bien d’un sac plein de sous-vêtements et… Mince les chaussettes j’oublie toujours, ce n’est pourtant pas compliqué !

Sinon il peut s’agir typiquement de la SUPER TROUSSE DE TOILETTE abandonnée dans la salle de bain et confortablement installée à côté du lavabo. En fait, je l’avais tellement bien disposée que sa présence ne choquait même pas ! Et là, le ton change.

Non mais c’est mort en fait, ça rentrera jamais ! C’est pas possible !

Départ de Kathmandu : on remballe tout !Je me tue ? Non je souris bien évidemment, tout cela est monnaie courante, et au final, tout simplement drôle… Car tout le monde connait l’issue de cette problématique : la valise ou le sac, d’une manière ou d’une autre, on la boucle. Non pas sans abandonner ce shampoing acheté sur place et qui sentait si bon, certes, mais c’est bouclé anyway. Bref, vous l’aurez compris… il peut être lassant de faire ses valises.

Et encore, je parle là du scénario ou la personne rentre chez elle ! Cela ne peut être que pire lorsque l’on part, tout simplement à cause de la fameuse question du :

Je prends quoi?

Je me suis récemment fait avoir à Budapest. Il était annoncé des températures relativement froides, inférieures à 0 et peu de temps avant il y régnait encore un petit -8°C. J’ai par conséquent choisi de prendre mes bottes d’hiver qui me tenaient bien au chaud durant les longs mois québécois. Résultat : j’ai tout simplement crevé de chaud !! Ça ne l’a pas fait du tout du tout !! Il a fait jusqu’à plus de 10°C et c’est bien simple, ces bottes moumoutées par cette température, ridicule !! C’est par manque de place et me sentant sur de la météo que je n’avais pris que celles-là !! Well-done… Donc y penser : toujours 2 paires dans ces cas-là

Bref, il faut se mettre d’accord avec soi-même concernant les choses à prendre, celles étant impératives, celles que l’au pire on trouvera sur place. Il faut faire cela fonction de la destination, de la période et de la culture locale évidemment. Ensuite, la seule chose nécessaire à l’opération est : de l’énergie !

Peu importe les galères d’organisation rencontrées, dans la prévision du voyage ou durant les trajets.

Une fois posé dans l’endroit qui nous a tant fait rêver, on se sent simplement : BIEN !

Et quand je dis « bien », ce n’est pas dans le sens du « ça va » lorsque les gens répondent sans réfléchir à la question finalement rhétorique : « ça va »? On se sent « bien » dans le sens « on est là où on est censé être à cet instant donné, on est dans le présent, tout simplement ». « On est bien parce que même si on venait à nous bousculer, même s’il se mettait à pleuvoir, on est au bon endroit au bon moment. »

Je ne connais pas de meilleur « coupe train-train » que les voyages et autres régulières escapades. De vous avoir parlé de tout cela, je n’ai maintenant plus qu’une envie, celle de prévoir un voyage et faire mon backpack !

Mots clés :

Les voyages m'ont toujours donné le sourire... Parce que j'aime photographier et adore découvrir... Le tout en rime…